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Species / Cyclomolops Subhumerosus

Stromboidea


Original Description of Rostellaria (Cyclomolops) subhumerosa Opppenheim, 1915, p. 48:

  • "Eine glatte Rostellarie, etwa von der Größe der Rostellaria fissurella Lk. aber weit gedrungener, ist eine der häufigsten Erscheinungen des Togokalkes. Die schlank kegelförmige Spira hat deutliche Ähnlichkeit mit den Jugendformen der großen glatten Strombiden, welche in den Schichten von San Giovanni Ilarione in Venetien und dem Roncahorizonte so häufig und charakteristisch sind (Strombus pulcinella Bay., Str. Tournoueri Bay. usW.) und zeigt wie diese schwach hervortretende, unregelmäßig verteilte Wülste auf der sonst glatten Oberfläche; Sie besteht aus 7-8 sehr langsam zunehmenden, schwach konvexen, durch oberflächliche Nähte getrennten Windungen, der letzte Umgang ist etwas, etwa um die Höhe dea Siphonalstieles, höher als die Spira, der Kanal selbst kurz und gerade, die Columella kaum verdickt und nicht gedreht, Spiralen scheinen an der vorderen Spitze nicht vorhanden. Die hier geschilderten, jugendlichen Individuen (Vergl. Taf. 4 Fig. 1 a-b.) haben eine gewisse Ähnlichkeit mit Cryptoconus-Formen. Bei älteren Stücken treten Verwicklungen im Gehäusebau auf. Ihre letzte Windung trägt hinten häufig eine zumal gegen die Mündung hin deutlich hervortretende kielartige Auftreibung. Die Mündung hatt vorn einen kurzen, Melanopsidenartigen Kanal. Der Columellarrand ist mit einem starken Callus bedeckt, welcher zumal in der hinteren Mundecke ganz gewaltige Dimensionen erreicht und sich bei einzelnen Individuen in einem kurzen, abstehenden Flügel an der Spira hinauf mehr oder weniger weit verlängert. Gegenüber dieser gewaltigen Entwicklung des Columellarrandes kommt der Außenrand kaum zur Geltung, doch ist auch er verhältnismäßig stark verdickt, bogenförmig gekrümmt und zieht sich unterhalb der Columellarschwiele an der Spira herauf, um hinten an der drittletzten Windung parallel der Naht, entlang zu streichen und annähernd im rechten Winkel auf der vorletzten Windung in einer leicht gekrümmten Endigung sich aufzulegen. Dieser nach vorn konkav geöffnete Bogen endigt ziemlich unvermittelt, etwa gegenüber der Mündung. Die Form erreicht eine Größe von 29:15 mm in Höhe und Breite."

Rostellaria (Cyclomolops) subhumerosa Opppenheim, 1915, pl. 4, fig. 1a, 1, 1b, 2, 3, 4, 5, 6, 7a, 7, 7b


History and Synonymy

1948

Furon & Kouriatchy, 1948, p. 105:

  • "Coquille de 35 mm. de longueur moyenne, dont la moitié au moins pour le dernier tour, irrégulièrement renflé. Spire conique, aiguë, comprenant 8 tours. Le test paraît tout à fait lisse sur les moules internes, mais un échantillon de 28 mm.., ayant conservé une partie du test (très mince), montre des costulations au nombre d'une quinzaine sur l'avant-dernier tour et même sur le dernier. Le labre dilaté se recourbe en arrière. Le bord columellaire présente une callosité qui se prolonge en arrière par une bandelette qui s'étend sur les deux spires précédentes et se rabat en forme de crochet. Le groupe des Rostellariidés est remarquable par la grande extension du manteau et surtout par les callosités qui recouvrent partiellement la coquille. Le genre Cyclomolops a été proposé par GABB pour une forme de l'Eocène inférieur du Bassin de Paris, Rostellaria sublaevigata Desh. (du Cuisien d'Aizy et de Sapicourt). Rostellaria humerosa DESH. se trouve dans le même niveau. Cyclomolops palliata FORBES se trouve dans la Craie supérieure de l'Inde. Cyclomolops Vredenburgi DOUVILLÉ provient des couches à Venericardia Vredenburgi DOUVILLÉ, de Jakmari et de l'Ouest de Ranikot, dans un niveau supérieur à celui à Venericardia Beaumonti d'ARCHIAC, et qui est donc montien. Le Montien de Belgique a livré Rostellaria (Calyplraphorus) Houzeaui BRIART et CORNET. Contrairement à l'opinion de H. DOUVILLÉ, A. CHAVAN considère qu'il s'agit bien d'un Calyptraphorus et non d'un Cyclomolops. Il n'existe rien de semblable dans l'Eocène du Sénégal, du Soudan, de la Nigeria, du Cameroun et de l'Angola. Il est à noter par contre Rostellaria {Calyptraphorus) afra VINCENT dans les couches montiennes de Landana. Les échantillons, incomplets, ne permettent guère de voir la différence entre un Calyptraphorus et un Cyclomolops. Cyclomolops subhumerosa OPPENHEIM est un des fossiles les plus abondants et les plus caractéristiques du Togo."

1977

Rimella subhumerosa Adegoke, 1977, pl. 20, figs, 9 - 13


Specimens from institutional collections

Cyclomolops subhumerosa Oppenheim, 1915; Danian, Paleocene; Togblékové, Togo; Coll. MNHN, No. A25713; Copyright Museum national d'Histoire naturelle Paris


References

  • Furon, R. & Kouriatchy, N., 1948. La faune Éocène du Togo. Mémoires du Muséum national d'Histoire Naturelle, Nouvelle Série, 27(4), pp. 95-114, pls. 8,9
  • Oppenheim, 1915

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